Une personne achète un bien ou un service à une autre. Librement. L’achète, c’est-à-dire l’échange, par l’intermédiaire d’argent, contre un autre bien ou service qu’elle a produit. Cet échange, dans cette liberté, est beau. Commercer. Se dit aussi de converser, échanger des idées. De là naît une civilisation. Les artistes des Flandres et d’Italie se rejoignent aux foires du Lyonnais et de la Champagne. La Chine et l’Europe se parlent à travers Marco Polo et la route de la soie. Le commerce, guetté sans cesse par le mensonge, la vulgarité, la violence, intrinsèquement est beau. Et si la laideur vend bien, la beauté vend mieux encore. La beauté formelle, un bel objet, une belle publicité, et la beauté d’une idée surtout, d’un projet.

Saltimbanque sert à cela, aider les marques à commercer, à commercer en beauté. Cette beauté n’est pas de l’art, c’est de la vie. Basquiat disait : « I don’t think about art when I’m working, I think about life. » De l’art, des artistes avec lesquels nous collaborons, nous nous inspirons de l’exigence de vérité, d’invention, d’efficacité et de beauté. Cette exigence est puissante : ce que nous avons appelé « l’art moteur ». Nous en faisons des publicités, de la communication digitale, du design, des événements. Nous en faisons du commerce. En France et dans le monde. Louis Roederer, Shang Xia / Hermès, JM Weston, Domaines Ott, Monte-Carlo Société des Bains de Mer, Bellavista, Gancia… attestent, par les résultats de nos collaborations, la force de commercer en beauté.